Plusieurs
processus successifs interviennent lors de nos sessions
de mastering audio, en fonction évidemment du
matériel audio (pistes) fourni par vos soins :
• l’égalisation
L’outil par excellence, utilisé pour compenser
ou corriger les défaillances du mix master, aplanir
les bosses irritantes ou combler les trous injustifiés.
Le but est de sculpter un profil fréquentiel plus
agréable pour mettre en valeur ou masquer certaines
portions du spectre audio, et ainsi obtenir un profil homogène
tout au long de votre album ou démo …
• le
contrôle de la dynamique
Vital. Dès lors qu’il ne s’agit pas
de course injustifiée au volume sonore, un monde
de possibilités s’ouvre avec un maniement
subtil et assuré des seuls réglages des temps
d’attaque et de relâche, des seuils d’intervention
et des rapports de compression, encore une fois, dans un
seul but, l’homogénéité …
• l’expandeur
Outil plus subtil qui peut être utilisé pour
conférer de l’envergure à un mixage
trop timide par exemple. La combinaison compresseur / expandeur
peut sembler paradoxale, toutefois, en variant les réglages
de temps respectifs des deux fonctions, on peut obtenir
une respiration interne capable d’adoucir des ambiances
trop figées.
• le
limiteur
Il remplit, en mastering, un rôle essentiel, presque
toujours confié à un appareil dédié,
presque toujours audio numérique. Il nous parait
important de vous informer que les installations de pressage
rejettent immanquablement tout produit qui contrevient
aux règles ou lois souvent confuses du « dépassement
en audio numérique en terme du nombre d’échantillons
successifs à 0dB » …
• le
séquençage
Aussi nommé pacing, il demeure la fonction la plus
traditionnelle du mastering. Il se décompose en
plusieurs tâches :
1-
l’ordre d’exécution des pièces
sur le produit final
2- les temps d’attente à insérer entre
les pièces
3- nettoyage des débuts et des fins ( lorsque nécessaire
)
D’une
manière générale, nous veillons à ce
que l’écoute du projet entier soit une expérience
agréable et cohérente. |